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mardi 4 juillet 2017 à 18h

Nuit debout : on n'est toujours pas couchés!

Les rendez-vous Nuit debout, après un tour aux Jardins Debout (anciens jardins de Pocoso), reviennent Place Jean Jaurès, les 1er et 3e mardis du mois.

Venez donc sur la place pour discuter, débattre, manger, chanter, festoyer dans la joie et la bonne humeur !

  • S'écouter, partager la parole, inventer d'autres formes d'actions, passer du contre au pour, etc.
  • Éducation populaire, culture populaire, etc.
  • Musiciens, chanteurs, comédiens, etc.
  • Puiser des idées ailleurs : « Los indignados » et Podemos en Espagne, en Grèce, au Portugal, etc.
  • ...

LUTTER, CRÉER, OSER, CONSTRUIRE, RÊVER ...

Une page Saint-Gaudens a été initiée sur le wiki NuitDebout :

Veillez à y faire remonter toutes les infos possibles (calendrier, commissions, communications...)

Liens :

Nuit debout est un ensemble de manifestations, régulières se déroulant sur des places publiques qui commence le 31 mars 2016 après une manifestation contre la « loi travail ». Ce mouvement social est pluriel et se propose de connecter nos luttes. La revendication initiale, le refus de la « loi travail », s'élargit à la contestation globale des « institutions » politiques et du système économique. Sans leader ni porte-parole, Nuit debout est organisé en commissions, et les prises de décisions se font par consensus lors d'assemblées générales (démocratie directe). Il y a conjonction de luttes ayant différents objectifs. Nous voulons contribuer à libérer la parole de chacun-e, ouvrir le mouvement aux classes sociales qui souffrent et aux personnes non engagées politiquement. Nuit debout s'étend aux milieux ruraux : ainsi est née Nuit debout à Saint-Gaudens. Divers sujets sont débattus : politique économique et sociale, démocratie, écologie, agriculture biologique, fin de l'économie capitaliste, rédaction d'une nouvelle constitution, enseignement, banlieues, féminisme, reconnaissance et égalité des minorités, accueil des réfugié-e-s, luttes des peuples pour leur émancipation, leur liberté, guerres coloniales, ... et aussi bien sûr les problèmes spécifiques au Comminges. Chaque personne a l'occasion de parler librement, d'exprimer ses colères ou ses espoirs. Seuls les propos racistes, sexistes, homophobes ou violents envers les personnes, ne sont pas acceptés.