thèmes : Solidarité, Débat incomplet
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samedi 11 mars 2017 à 18h

Démosphère publie les rendez-vous politiques en adéquation avec sa charte mais n'est affilié à aucun parti.

PRÉSIDENTIELLES :
ASSEZ DE DIVISIONS
RASSEMBLONS-NOUS - À GAUCHE MAINTENANT !

« Celui qui votait Jean-Luc, celui qui portait Benoît
Quand les blés sont sous la grêle fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles au cœur du commun combat»

(adapté du poème « la rose et le réséda » de Louis Aragon)


Retrouvons-nous SAMEDI 11 MARS à 18h devant la mairie de Luchon

Manifestons notre volonté de rassemblement des forces de progrès pour la présidentielle.

Insistons pour que les candidats s'accordent sur un pacte progressiste commun et pour parvenir à une candidature unique capable de battre la droite et l'extrême droite et de redonner espoir aux ouvriers, aux employés, à tous les travailleurs.

Soyons insoumis aux médias des puissants qui rêvent de nous vendre un débat limité aux Le Pen, Fillon, Macron.

POUR EN DÉBATTRE RENDEZ-VOUS SAMEDI 11 MARS.A 18h devant la mairie de Luchon puis dans la salle de réunion du rez de chaussée.

ASSEZ DE DIVISIONS / A GAUCHE MAINTENANT / CRÉONS UNE DYNAMIQUE AUTOUR D' UN PROJET PROGRESSISTE ET D'UNE CANDIDATURE COMMUNE.

José Martinez / JF Subercaze
PCF Luchon


A lire dans l'Humanité du 3 Mars la chronique de Philippe Torreton qui dit sa déception de la désunion actuelle .

Extraits :

« …. Comme beaucoup d'entre vous, j'espérais de cette élection : nous avions rendez-vous avec l'Histoire,

... La gauche va regarder Marine Le Pen, François Fillon et Emmanuel Macron, ils devront beaucoup à Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.

…. il me semble qu'un compromis (ente B Hamon et JL Melenchon), même en mordant sa chique, aurait soulagé bien de la misère en France ; un compromis aurait peut-être permis à quelques centaines de milliers de personnes de retrouver un toit ; un compromis, même tiré par les cheveux, aurait pu améliorer les conditions de travail de centaines de milliers de travailleurs au bout du rouleau ; un compromis aurait sûrement sauvé des sites naturels, rendu respirable de l'urbain asphyxié, amélioré la santé des plus faibles, remis à l'école des errances, donné de l'espoir aux enseignants et calmé la police en la rapprochant du peuple.

…. Ils n'avaient pas envie de ça, nos deux têtes… d'affiche. Peut-être que la France ne va pas si mal que ça, finalement. Si ça se trouve, je me monte le bourrichon. Peut-être que tout cela peut attendre… »

Source : message reçu le 8 mars 15h